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INCESTE et CORONAVIRUS, Le match du siècle...
INCESTE et CORONAVIRUS : le match du siècle...
https://www.editions-maia.com/…/des-larmes-dans-les-yeux-…/…
Depuis l’Antiquité, aujourd’hui encore, et pour bien longtemps je le crains, des millions d’enfants ont été, sont toujours, et seront victimes de parents incestueux, ou de pédocriminels en-dehors de la famille.
Dans tous les pays, sur tous les continents, dans tous les milieux sociaux, depuis toujours…
Et pourtant, la pédocriminalité, incestueuse ou non, n’est pas une maladie contagieuse… Pas de virus mortel qui fait le tour de la Terre à la vitesse d’un avion à réaction ! Et pourtant…
Et qu’a-t-on fait pour ces millions de petites victimes ? Rien, ou si peu… En tout cas, pas assez !
En tout cas, aucune opération d’envergure mondiale comme celle que l’on vit aujourd’hui pour combattre le coronavirus…
Et des millions de jeunes vies sur Terre ont ainsi été massacrées, ont (sur)vécu avec de nombreuses cicatrices, lorsqu’elles ne se sont pas terminées prématurément par le suicide…
Aujourd’hui, le coronavirus si contagieux, et souvent mortel, s’étend sur toute notre planète…
Et toutes les autorités politiques, médicales et scientifiques sont sur le pont !
Et si un Dieu existe, quelque part, a-t-Il bien fait les choses ?
Et voici que, soudainement, je plonge dans un songe…
Le jour, les enfants sont protégés du coronavirus.
Ne nous disait-on pas qu’ils sont généralement des « porteurs sains » ?
Mais la nuit… Les voici « confinés » depuis de longues semaines au sein de familles, ou de proches, dont certains membres ne sont malheureusement pas des mieux intentionnés…
Ces derniers n’ont besoin ni de masques FFP2 ni de gants en latex pour commettre leurs sordides forfaits…
Et ce confinement nocturne ne manquera hélas pas de favoriser une gigantesque vague incestueuse, nous sommes nombreux à le penser…
Vous me trouvez bien pessimiste ? Aurais-je des raisons de ne pas l’être ?...
Il est prouvé de longue date hélas que rien n’arrête ceux que j’ai toujours qualifiés de Monstres.
Ces êtres qui n’ont d’humain que le nom, puisqu’ils détruisent sans vergogne d’innocentes petites victimes.
Combien de ces petites victimes, fillettes ou garçonnets, se sont promenées, comme moi, enfant, avec des larmes dans les yeux et un monstre par la main ?
Le viol d’enfants tue, que ce soit physiquement, suicides, ou psychologiquement, dépressions, insomnies, amnésies et autres maladies.
Toutefois, avec l’apparition du coronavirus, aurions-nous enfin l’espoir d’assister prochainement à la destruction définitive de cette horde de pédocriminels ?
En effet, les enfants sont souvent porteurs sains.
Les prédateurs sexuels les approchent depuis toujours sans la moindre peur. Leurs désirs infâmes sont irrépressibles...
Ne pourrait-on pas alors rêver d’une hécatombe de violeurs d’enfants ?
Tout enfant qui serait approché ne pourrait-il pas devenir une bombe à retardement « ciblée violeurs d'enfants » ?
Aurions-nous enfin l’espoir d’assister à la destruction définitive de cette engeance ?
Imaginons des charniers de pédocriminels, imaginons une Justice enfin vraiment rendue !
Pas par les hommes, ils nous ont montré leur incapacité au fil des siècles et sur tous les continents, mais par le coronavirus.
Lui, est implacable. Il dégaine plus vite que son ombre…
Encore faudrait-il que le coronavirus de mes rêves soit
« sélectif », n’attaquant que les violeurs d’enfants, rapide comme l’éclair, et obéissant à une distanciation sociale miraculeuse afin qu’un enfant approché à moins d’un mètre ne puisse plus être touché par son prédateur qui s’écroulerait instantanément, paralysé pour l’éternité ! Imaginez des millions de « statues de sel »…
Et si la fin de l’inceste et de la pédocriminalité passait par ce coronavirus de rêve ?
Et si enfin le glas avait sonné pour tous ces tueurs en série d’enfants ?
Et si, et si, et si...
Et si mon songe devenait réalité ?...
Hélas, je suis bel et bien réveillée, et j’ai bien peur que toutes nos associations de protection de l’enfance ne soient bientôt confrontées à un tsunami de nouvelles petites victimes…
On n'en sort JAMAIS indemne, juste survivant(e). Et je suis bien placée pour en parler...
https://www.editions-maia.com/liv…/la-femme-aux-cicatrices/…
Radio Massabielle
Le livre du jour : Des larmes dans les yeux et un monstre par la main
5 Novembre 2019
Rédigé par Roland FRANCOISE, Radio Massabielle
Peu après sa naissance et jusqu'à ses neuf ans, Muriel a vécu chez ses grands-parents paternels, des années de bonheur. Son père était pris par son travail et sa mère ne s'intéressait pas du tout à sa fille lui préférant son fils cadet. Mais un jour, elle a du quitter celle qu'elle appelait sa Maman et son grand-père tombé malade pour vivre avec ses parents.
Ce fut bientôt l'enfer, DES LARMES DANS LES YEUX ET UN MONSTRE PAR LA MAIN, celui-ci étant Pépé Henri, son grand-père paternel qui, très vite l'a violée et prostituée à d'autres vieux pervers. Il lui faudra longtemps pour avouer ces sévices ignobles, se sentant confusément coupable, comme le dira ouvertement sa mère. Des années plus tard elle entamera une psychothérapie et fera des études de droit et de journalisme contre l'avis de ses parents.
Malheureusement, d'autres événements tragiques surviendront comme la naissance d'un enfant dont le père était un alcoolique violent et la mort d'un ami proche atteint d'un mal méconnu à l'époque qu'on appelait pas encore le SIDA.
Pour couper avec son passé, Muriel a choisi de changer de prénom et s'appelle désormais Kathya et cette autobiographie ne peut laisser qui que ce soit insensible et permettra également de faire preuve d'encore plus de vigilance envers nos enfants.
DES LARMES DANS LES YEUX ET UN MONSTRE DANS LA MAIN de Kathya de Brinon, Éditions Maïa, 334 page 19 €
Retrouvez A L' ECOUTE DES LIVRES chaque mercredi à 18h30 sur Radio Massabielle (97.8 Mhz et 101.8 Mhz)
Remboursement des soins à 100%
Victimes d’inceste et de pédocriminalité : Remboursement des soins médicaux…
Pendant l’émission consacrée à l’inceste à laquelle nous avons participé le 2 mars 2020 sur Beur FM, le Docteur Gérard Lopez, psychiatre, co-fondateur de l’Institut de Victimologie de Paris, a rappelé qu’il était possible de solliciter le remboursement des soins lorsque l’on a été victime de sévices sexuels dans son enfance.
En effet, les soins consécutifs aux sévices sexuels subis dans l’enfance peuvent être pris en charge par la sécurité sociale, à 100 % dans certains cas.
Toutefois, cette possibilité ne semble pas très connue, ni des victimes (ou leurs proches) ni même de la plupart des médecins traitants.
Aussi n’est-il pas inutile de rappeler les principaux documents officiels qui régissent la procédure de demande de remboursement.
Code de la sécurité sociale : Article L 160-14-15°
« La participation de l’assuré (…) peut être limitée ou supprimée (…) dans les cas suivants (…) : Pour les soins consécutifs aux sévices subis par les mineurs victimes d’actes prévus et réprimés par les articles 222-23 à 222-32 et 227-22 à 227-27 du code pénal »
Ces articles du code pénal traitent du viol, des autres agressions sexuelles, de l’inceste, de la mise en péril des mineurs.
Assurance Maladie des salariés-sécurité sociale-caisse nationale : Circulaire CNAMTS du 28 décembre 2001
« Suppression de la participation de l’assuré au titre des frais de soinsconsécutifs aux sévices sexuels subis par des mineurs.
Le décret n°01-833 du 13 septembre 2001 précise les modalités de la suppression de la participation de l’assuré au titre des frais de soins consécutifs aux sévices sexuels subis par des mineurs, prévue par la loi n°98-468 du 17 juin 1998 (Article L.322-3-15° du Code de la sécurité sociale »
CERFA n°50774-02 : Notice à destination du médecin pour remplir le protocole de soins
« L’exonération du ticket modérateur est possible pour les soins aux mineurs victimes de sévices sexuels (article L.160-14-15°). Le code spécifique T 74.2 doit être le seul code utilisé dans ce cas particulier ».
La lecture de ces documents montre que les remboursements concernent les actes qui sont normalement remboursables par l’Assurance Maladie.
Pour obtenir une prise en charge à 100%, un protocole de soins doit d’abord être rédigé par le médecin traitant.
Ensuite, le médecin conseil de l’Assurance Maladie se concertera avec le médecin traitant, avant de valider les différentes modalités de l’exonération.
Toutes les conséquences psychologiques et physiques liées au traumatisme subi sont concernées.
Les consultations effectuées par un psychologue libéral ne sont pas prises en charge par l’Assurance Maladie, mais le remboursement est possible lorsque les séances sont effectuées dans un établissement public (Hôpital, Centre Médico-Psychologique).
Les consultations chez un psychiatre font l’objet d’une prise en charge au taux habituel, à condition d’avoir été orienté par le médecin traitant dans le cadre du parcours de soins.
Notre conseil : anciennes victimes, n’hésitez pas à en parler à votre médecin traitant en lui communiquant les références des textes officiels.
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Le texte suivant reproduit intégralement le texte publié sur le site très complet de l’AIVI, « Association Internationale des Victimes de l’Inceste », association fondée en 2000 par Isabelle Aubry.
Finances : Victimes, vos soins remboursés à 100%
Très rares sont les professionnels et les institutions qui le savent, mais depuis la loi n°98-468 du 17 juin 1998 (Article 31), les soins consécutifs à des viols et agressions sexuelles commis sur mineur sont pris en charge à 100% par la sécurité sociale. Cela concerne toutes les conséquences, physiques ou psychologiques. (Article L322-3-15 du Code de la Sécurité Sociale). Pourtant, la procédure est identique à celle requise pour les maladies longue durée, les médecins la connaissent par coeur.
Qui peut bénéficier de la prise en charge des soins à 100% ?
Toute personne, mineure ou majeure, ayant été victime de violences sexuelles dans l'enfance (avant 18 ans), incestueuses ou non, définies par le code pénal : viol et agressions sexuelles. Il n'est pas nécessaire d'avoir porté plainte ou d'avoir un jugement pour en bénéficier.
Qu'est-ce qui est pris en charge ?
Tous les soins remboursés par la sécurité sociale consécutifs aux sévices subis.
Il peut s'agir de soins psychologiques mais aussi physiques.
C'est au médecin traitant de diagnostiquer les affections liées au traumatisme.
Les conséquences sont nombreuses, les médecins ne sont pas toujours formés à faire le lien entre violences subies et affections, il ne faut pas hésiter à tout lui dire.
La prise en charge à 100% prend effet à la date où les faits de viol ou d'agression sexuelle ont été commis.
Comment obtenir cette prise en charge ?
Le médecin traitant rédige la demande de prise en charge à 100 %, pour « soins aux mineurs victimes de sévices sexuels » est faite en utilisant l’imprimé «protocole d’examen spécial S 3501 », en saisissant le code spécifique T74.2.
Le médecin conseil prend contact avec le médecin traitant afin d’élaborer conjointement le projet thérapeutique et le suivi médical (Circulaire CNAMTS du 28/12/2001).
Pourquoi est-ce important d'être remboursé(e) ?
Une demande de prise en charge reconnaissant les sévices subis par victime contribue à son rétablissement, facilite la mise en place de soins appropriés, renforce la confiance du patient pour son médecin traitant facilitant ainsi une alliance thérapeutique.
De plus, le système de soin français ne fait pas le lien entre la cause et les conséquences.
Etre remboursé(e) suite à des sévices sexuels subis dans l'enfance, permet de reconnaitre la gravité de ce crime dans notre société, mais aussi de mettre en évidence son impact sur la santé.
Beaucoup de victimes peuvent par exemple être soignées pour dépression, mais leur dépression est liée à l'inceste et de cela personne ne parle.
Pour que les médecins prennent le réflexe de questionner systématiquement leurs patients sur leurs traumatismes afin dépister les conséquences de ce vécu sur la santé, nous devons parler et parler encore de cette souffrance avec des mots plus qu'avec des maux.
Ainsi, la société réalisera que l'inceste lui coute très cher humainement mais aussi financièrement et espérons-le, des mesures seront mises en place.
On a parlé d'inceste sur Beur FM...
Le lien vers le podcast de l'émission se trouve sur la page "Podcasts radiophoniques"
Et si nous parlions d’INCESTE...
Ce lundi 2 mars 2020, et en compagnie de Gérard Lopez, psychiatre, co-fondateur et président d’honneur de l’institut de Victimologie de Paris, j’étais invitée sur Beur FM.
Nos hôtes, Nadia El Bouga, sexologue, et Philippe Robichon, animateur, allaient affronter avec nous ce terrible fléau qu’est l’inceste.
Et comme il reste toujours tabou et bien dissimulé, ce fléau familial !
Gérard Lopez nous a très justement fait remarquer que ces derniers temps, on ne parlait que de la pédocriminalité à travers les derniers scandales médiatiques « à la mode », Matzneff, Polanski, le monde du sport, l’église, etc...
N’avais-je pas écrit il y a quelques semaines, « le Matzneff qui cache la forêt » ?...
Mais d’inceste, on ne parle pas, ou si peu...
Trop enfoui au sein des familles, il est un fléau bien caché et trop souvent discrètement oublié !
Et le déni qui l’accompagne si souvent...
Et pourtant, il dévaste ses victimes bien plus sûrement et longtemps que le coronavirus.
Combien de suicides, de dépressions, de boulimies, d’anorexies, d’adultes détruits ne lui doit-on pas ?
Combien d’insomnies, de cauchemars, d’échecs scolaires et professionnels ?
Combien de couples à la sexualité bouleversée ?
Combien de mariages ratés ?
Combien de divorces annoncés ?
Combien d’enfants fuyant leur parent incesté ?
L’inceste déclenche des amnésies post traumatiques.
L’inceste est cause de multiples pathologies sévères, un vrai problème de santé publique !
Mais voilà, l’inceste reste le mot imprononçable, et ses maux sont cachés par notre Société moralisatrice...
Parler d’inceste dérange.
Il m’a même souvent semblé que je prononçais un gros mot lorsque j’en parlais...
Et pourtant, et comme le chantait si bien Jean Ferrat, « je twisterai les mots s’il fallait les twister » pour qu’un jour enfin vous sachiez de quelle horreur nous avons été les innocentes victimes !
Car nous sommes toutes et tous des victimes oubliées.
L’inceste nous a pollués, il vaut donc mieux nous éviter...
Serions-nous contagieux ?...
Pour sensibiliser les adultes, et notamment les parents en vue de développer la prévention, j’ai décidé d’écrire mon histoire dans deux livres autobiographiques dont certains passages sont particulièrement difficiles à lire.
Puis j’ai fondé l’association « SOS VIOLENFANCE. Prévention de l’inceste et de la pédocriminalité ».
En France, plus de quatre millions de victimes de l’inceste...
Mon message de bienvenue...
Message de Kathya de BRINON...
Bienvenue sur le site de la nouvelle association « SOS VIOLENFANCE », créée officiellement en septembre 2019 !
Ancienne victime d’inceste et de prostitution infantile entre 9 et 11 ans par le père de ma mère, et après avoir réussi à écrire mon histoire dans deux ouvrages autobiographiques afin de contribuer au combat contre la pédocriminalité, j'ai décidé, sous l’amicale pression de nombreux amis, de créer une association à but non lucratif loi 1901 que j’ai dénommée :
" SOS VIOLENFANCE Prévention de l'inceste et de la pédocriminalité "
Son objet est de définir et mener à bien diverses actions visant à développer la prévention contre les agressions sexuelles commises sur les enfants dans le cadre familial (inceste) ou en environnements extérieurs tels que scolaire, sportif, centre de vacances…
Sans oublier les agressions physiques et psychologiques qui leur sont souvent liées : j’ai moi-même subi des violences physiques et psychologiques de la part de mes tortionnaires ainsi que je l’ai écrit dans mon premier livre.
Je ne suis pas la première victime d’inceste à témoigner, ni la dernière hélas, et je suis admirative de toutes celles et ceux qui ont eu le courage de le faire !
Il existe déjà de nombreuses associations agissant pour la protection de l’enfance depuis des années, voire plusieurs décennies pour certaines. Elles ont ainsi acquis une réputation indiscutable, et je tiens à saluer l’engagement de tous les bénévoles qui y participent.
Je ne chercherai jamais à les concurrencer. Chaque association a son histoire, ses motivations, ses objectifs, sa philosophie…
Ma motivation personnelle, c’est mon enfance qui a basculé, du jour au lendemain, d’un bonheur total à un enfer insupportable. Je souhaiterais que cela ne se reproduise jamais plus. Aucun autre enfant ne devrait subir de tels supplices. Je sais bien que je suis dans l’utopie, mais que cela ne nous empêche pas d’agir…
Comme beaucoup de victimes de l’inceste et de la pédocriminalité, j’ai fait maintes tentatives de suicide. Mais j’ai survécu…
Et c’est la « survivante » qui a pris la décision de se battre afin de tenter de préserver l’innocence de nos enfants.
Je désire donc axer nos activités en priorité vers la prévention, ce que certaines associations font déjà, mais je pense que nous ne serons jamais assez nombreux pour parvenir à terrasser ces fléaux immondes que sont l’inceste et de la pédocriminalité. L’actualité quotidienne est là pour nous le rappeler sans cesse !
Si notre jeune association est contactée par d'anciennes victimes ou des proches de victimes d'inceste ou de pédocriminalité en recherche de soutien psychologique ou juridique, nous vous orienterons vers l'une ou l'autre des associations qui agissent en ce sens avec compétence.
Notre association est disposée à joindre ses efforts à toutes celles qui poursuivent le même objet, et/ou un objet complémentaire tel que : assistance juridique ou psychologique auprès des victimes, groupes de parole et ateliers divers, évolution de la législation concernée, actions thérapeutiques, aide à la reconstruction des victimes, publication d’ouvrages et brochures, etc.
Je tiens à rappeler que l’unique objet de la création de « SOS VIOLENFANCE » est la prévention et la protection de l’enfance.
Il m’arrive parfois de rêver à un Monde idéal où nous pourrions mettre fin à toutes nos associations qui seraient devenues sans objet, parce qu’il n’y aurait plus d’innocentes et jeunes victimes à sauver…